La FIFA en guerre contre l’Algérie : un complot mondial éclate juste avant la Coupe du monde 2026

Les qualifications pour la Coupe du monde 2026 suscitent de nombreuses interrogations, notamment en ce qui concerne l’équipe nationale algérienne. Face à des décisions surprenantes qui semblent la désavantager, certains observateurs évoquent la possibilité d’une tentative de déstabilisation. La question qui se pose est : l’Algérie est-elle réellement la cible d’un complot dans sa quête de qualification pour le Mondial qui se déroulera au Canada, aux États-Unis et au Mexique ?

Un contexte sportif sous tensions

Le football africain est actuellement plongé dans une période de tensions exacerbées. Le Tribunal arbitral du sport (TAS) a récemment pris une décision défavorable au Maroc concernant l’usage de symboles politiques sur les maillots de certains clubs. Le Maroc, possédant des figures influentes au sein de la Confédération africaine de football (CAF), nourrit ainsi des soupçons de manœuvres en coulisses pour compliquer la route de l’Algérie vers le Mondial 2026.

Des critiques ont déjà été émises par le passé concernant les prises de position des instances dirigeantes du football africain. La gestion du litige entre l’USM Alger et la RS Berkane, autour du maillot floqué d’une carte du Maroc incluant les territoires du Sahara occidental, ou encore l’attribution controversée de la CAN 2025 et la CAN 2027, sont autant d’exemples qui illustrent ces tensions.

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Des décisions surprenantes sur les stades

Un des éléments les plus controversés touchant l’équipe algérienne concerne l’homologation des stades dans certains pays africains. Plusieurs équipes, comme le Mozambique, ont vu leurs enceintes interdites d’utilisation par la CAF, alors même qu’elles avaient accueilli l’Algérie sans problème par le passé. Cette mesure semble toutefois bénéficier aux rivaux des Verts, tels que la Guinée et l’Ouganda, qui disputeraient alors leurs matchs à l’extérieur sur terrain neutre.

Cette situation soulève des questions : pourquoi ces interdictions surviennent-elles après que l’Algérie ait déjà joué dans ces stades ? Une réévaluation des infrastructures aurait pu être faite bien avant le début des qualifications. Le journal Echorouk s’interroge sur les raisons derrière ces décisions et pointe du doigt les coulisses de la CAF.

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Une équipe sous pression mais toujours en course

Malgré ces nombreux obstacles, l’équipe nationale algérienne conserve toutes ses chances de qualification. La défaite contre la Guinée en juin 2024 a mis en évidence certains défis sportifs, mais l’équipe, dirigée par Vladimir Petkovic, a encore l’occasion de se rattraper lors des prochains matchs.

Pour réussir, les Fennecs devront rester concentrés sur le terrain, en évitant de se laisser perturber par le contexte extérieur qui pourrait nuire à leurs performances. La qualification dépendra avant tout de leurs résultats et de leur capacité à gérer la pression. Les supporters placent leurs espoirs dans le retour de Belaili en sélection algérienne, qui pourrait apporter un nouvel élan à l’équipe.

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Quel avenir pour l’Algérie ?

La question de savoir si l’Algérie est la cible d’un complot reste ouverte, mais ce qui est certain, c’est que les défis sont nombreux et que les enjeux sont élevés. Les décisions des instances dirigeantes du football et les conditions de jeu peuvent influencer le parcours de l’équipe, mais en fin de compte, ce seront les performances sur le terrain qui détermineront leur succès.

Alors que la Coupe du monde 2026 approche, les supporters algériens se demandent si leur équipe parviendra à surmonter ces obstacles. Quel sera l’impact des décisions controversées sur le parcours des Fennecs ?

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