Avant le lancement officiel de la Coupe du Monde féminine de la FIFA au Canada, le comité organisateur National a fait une annonce par rapport aux objectifs qu’il souhaitait mettre en place durant et après l’événement. Les dix-huit sites d’entraînements ont été ainsi présentés. Ces derniers sont considérés comme étant des Héritages pour chaque ville hôte.
Une aubaine pour le pays hôte
En tant que pays organisateur, le Canada s’est montré à la hauteur de l’évènement. D’autant plus que la Coupe du Monde Féminine est la plus importante parmi les compétitions internationales. Pour preuve, l’objectif d’atteindre les 1,5 million de spectateurs a largement dépassé. En outre, de nouvelles infrastructures ont été construites à l’intention des habitants de chaque ville hôte. Ainsi, ils ont bénéficié de trois terrains d’entraînement au minimum. Parmi les stades concernés, il y a ceux de Vancouver, Montréal, Alberta, Québec, et bien d’autres encore. À noter que chaque terrain a entièrement répondu aux critères imposés par la FIFA. Pour que chaque terrain dispose les mêmes normes, les surfaces occupées pour ces terrains ont spécialement les mêmes qualités dans le but de garantir une évolution constante de chaque équipe durant leurs exercices. En effet, tous les sportifs, surtout les footballeurs pourront ainsi profiter pleinement de ses infrastructures pour les prochaines années.
Des stades fiables et durables.
Le but de cette initiative n’est pas uniquement de les utiliser pendant la compétition, mais également avant et après. Il est donc important que ces stades suivent la norme exigée par la FIFA pour qu’il demeure praticable dans le futur. Afin de bien entretenir chaque stade, un séminaire sur l’entretien a été mis en place pour offrir une formation nécessaire au personnel concerné. Ainsi, chaque terrain est prêt à accueillir chaque équipe et leur permettre de s’entraîner dans une condition optimale.